Région Grand-Est – Life Biodiversité

Franck Leroy


La Région est propulsée, via la Commission Européenne et le programme Life, à un niveau supérieur de l’action environnementale, grâce a des moyens pour lutter contre l’érosion de la biodiversité. Alors, parlons-en, en compagnie de Franck Leroy, Premier Vice-Président du conseil régional du Grand Est et chargé de l’environnement, de la transition écologique et du SRADDET, le schéma régional d’aménagement de développement durable et d’égalité des territoires.

La Région Grand Est a été candidate pour un programme Life. Le programme Life est un programme de préservation de la biodiversité créé depuis déjà une trentaine d’années par la Commission Européenne. Et, jusqu’ici, il n’y avait que des pays qui étaient candidats. Et il y a deux ans, la Région Grand Est a postulé, compte tenu de son potentiel en matière de biodiversité, pour bénéficier d’un programme Life. À notre grande surprise, on a été acceptés. Ce qui veut dire que, aujourd’hui, la Région Grand Est est la seule région d’Europe, à porter un programme Life qui, normalement, est porté par un pays. Par exemple, début 2022, on nous a remis officiellement les clés, de manièr symbolique, de ce programme avec la Finlande, donc c’était bien un pays et une région. Très concrètement, la Commission Européenne confie des moyens budgétaires extrêmement importants à la région, pour qu’elle finance un certain nombre d’actions qui visent à protéger les espèces des milieux naturels, qui vise à préserver la biodiversité, notamment du changement climatique, qui vise à améliorer les pratiques agricoles pour préserver la biodiversité, ou encore à mieux gérer les milieux naturels. Donc c’est vraiment un acte de confiance important, qui implique des moyens. C’est un programme de 25 millions d’euros sur 10 ans, donc c’est des sommes considérables. C’est du fonctionnement, donc c’est-à-dire que ce sont des recrutements qui sont intervenus et, les agents qui ont été recrutés, au titre du programme Life, par la Région, vont être dispatchés sur l’ensemble du territoire pour aller au contact des acteurs : les agriculteurs, les élus locaux, toutes les personnes qui sont susceptibles de pouvoir agir sur la biodiversité.

Et donc tous les pays vont dans le même sens ? Puisque ça ne concerne pas uniquement la France, comme vous venez de nous le dire.

Alors la plupart des pays bénéficient d’un programme Life, mais, encore une fois, jamais la question ne s’était posée pour des régions. Et il se trouve que notre région est la seule à en bénéficier. Autant dire que beaucoup d’autres régions nous regardent, pour savoir comment on va gérer un tel programme, et pour savoir notamment par quoi ce programme va se traduire. Donc, par exemple, dans nos parcs naturels régionaux, on a positionné des agents recrutés au titre du programme Life Biodiv’Est (“Biodiv” donc biodiversité et “Est” parce que Région Grand Est) pour aller au contact des acteurs du territoire. Ça peut être les maires des villages, ça peut être des agriculteurs, ça peut être des acteurs associatifs qui ont besoin d’un soutien important sur la biodiversité, pour sensibiliser les acteurs et élaborer un certain nombre de projets qui vont contribuer au partage de la connaissance sur la biodiversité et à expérimenter des actions, qui vont nous permettre de mieux comprendre le fonctionnement de la biodiversité et, donc, d’engager des actions pour la préserver.

Et avec tous ses partenaires, c’est une force pour justement améliorer cette biodiversité ?

Ce qui a fait la force de la région Grand Est c’est sa dimension, et c’est le collectif qu’elle a su créer avec la DREAL, donc les services de l’État, avec les trois agences de l’eau et avec l’Office français de la biodiversité. Et la particularité du Grand Est, c’est que on a constitué de manière un peu informelle, ce qu’on appelle un collectif où ses différents acteurs font un véritable collectif, c’est-à-dire partagent leurs éléments d’information, coopèrent de manière très étroite, et du coup ont très certainement, par cette entente, créé les conditions d’une crédibilité qui, peut-être, peut manquer à d’autres territoires. C’est donc un facteur de succès dans cette première phase, qui est l’obtention du programme Life. Maintenant, on fait vivre ce collectif. J’étais, il y a 15 jours, à Montier-en-Der, au Festival de la photo animalière, qui est un festival absolument extraordinaire, pour re-signer, avec la Préfète de région, avec les trois agences de l’eau et l’Office français de la biodiversité. Le renouvellement de cette signature, de cet engagement collectif, qui fait notre force.

Vous avez parlé d’une période de 10 ans. Pourtant, on ne sait pas encore comment sera le monde dans 10 ans.

Non, mais ce qu’on sait tous, c’est qu’il faut agir vite. C’est-à-dire qu’il faut aujourd’hui déployer beaucoup plus d’actions qu’on en a jamais menées sur la biodiversité, pour la préserver, pour la faire renaître là où elle a subi la pression essentiellement de l’Homme, de manière à conserver ces atouts que représentent la biodiversité. La biodiversité c’est quoi ? C’est le monde du vivant. Et l’Homme fait partie du monde du vivant. Nous, êtres humains, avons une responsabilité à l’égard de la nature et il faut absolument qu’on prenne conscience de cette responsabilité et qu’on adopte des comportements plus citoyen, plus responsables, pour, demain, laisser aux générations futures une biodiversité qui permettra à l’écosystème mondial de fonctionner.

Pour conclure, Monsieur le Vice-Président ?

Pour conclure, je serais tenté de citer Hubert Reeves qui a une formule qui, à mon avis, est tout à fait parlante : “Actuellement, l’Homme mène une guerre contre la nature. S’il gagne, il est perdu”. Ça veut dire qu’on a besoin de la biodiversité, on a besoin de la nature, on a besoin des richesses naturelles, on a besoin des écosystèmes et que, si on les détruit, – sans le vouloir, parce qu’évidemment l’homme ne détruit pas volontairement, c’est souvent par sa maladresse et c’est souvent par son ignorance qu’il détruit des écosystèmes- à terme, il se détruit lui-même. Et donc je pense que c’est un principe que nous devons avoir en tête les uns les autres.

 

LoREEN


Graines d’écolos

Ils ont à peine 10 ans mais ont déjà conscience de l’importance de la biodiversité. À Varangéville, en Meurthe-et-Moselle, les élèves d’une classe de CM2 retrouvent une fois par mois un animateur de l’Atelier Vert. Ensemble, ils partent dans la nature à la découverte de leur environnement. Cette action coordonnée par Loreen (Lorraine éducation à l’environnement et à la nature) s’inscrit dans le programme Life Biodiv’Est piloté par la région Grand Est. L’objectif : sensibiliser les jeunes à la biodiversité et en faire des ambassadeurs auprès de leur entourage.

Yann Chassatte est l’animateur de l’Atelier vert qui accompagne les jeunes élèves à travers les forêts et les champs de Varangéville. Et sa méthode pour les sensibiliser à la biodiversité est bien rodée : ce jour-là, il pose quelques panneaux de bois au milieu d’un chemin et envoie les enfants collecter les graines. Après quelques minutes, il sonne le rappel :

– “Allez, allez on se rassemble ! vous pouvez voir si on se met en cercle tout autour que vous avez déjà trouvé beaucoup de choses ! Certaines que vous connaissez c’est sûr… Si je vous montre celles-là, c’est quoi ça ? des Noix ! Alors les noix c’est la graine de quel arbre ?.. Le noyer ! Donc les fruits du noyer, vous voyez qu’ils ont déjà intéressé des animaux. Regardez celle-ci, elle s’est fait grignoter, sûrement par un petit mulot ou une petite souris. Donc toutes ces graines vont être intéressantes à l’automne et à l’hiver pour les animaux qui font leurs réserves.”

L’objectif de cette activité de collecte de fruits et de graines est simple : montrer aux enfants la diversité de ce qu’il y a dans leur entourage.

– “L’automne c’est vraiment la pleine saison pour les plantes qui sont en train de produire leurs graines et leurs fruits pour éventuellement passer l’hiver et être ressemées un peu plus loin. On voit qu’il y a des diversités de formes, de couleurs, de tailles aussi. Le but n’est pas de faire un inventaire exhaustif, mais de montrer cette diversité et de leur décrire certaines particularités. Ce qui est intéressant, c’est qu’ils se posent des questions et qu’ils apprennent à observer !”

L’Atelier Vert pratique au quotidien la sensibilisation à l’environnement, et pas seulement avec les enfants.

– “On emmène tous les publics dans la nature, y compris les adultes et les seniors. On leur propose de reprendre contact avec leur environnement proche pour découvrir toutes ces espèces et ces paysages qu’on a un peu tendance à oublier ou à trouver sans intérêt. Ensemble, on retrouve du plaisir et on recrée le lien avec le territoire, par le biais de la protection de la nature évidemment mais aussi en se penchant sur l’histoire locale et sur tout ce qui a façonné le territoire.”

Et qu’en pensent les enfants ? Qu’apprennent-ils avec l’animateur de l’Atelier Vert ? Florilège.

– “Yann nous apprend qu’on peut manger des trucs dans la nature mais qu’il faudrait encore plus la préserver parce qu’il y a beaucoup de gens qui polluent. On trouve des bouteilles, des morceaux de plastique par terre…”
– “Je me dis que les gens, avant de jeter, devraient se poser la question : et si c’était moi la nature, est-ce que j’aimerais qu’on me jette des détritus dessus ?”
– “Ça me fait un peu mal au cœur de voir qu’il y a autant de gens qui polluent la nature.”
– “C’est pas très bien de polluer parce que la nature est importante. S’il n’y a pas de nature, s’il n’y a plus d’arbre du tout sur la planète, on meurt.”

Attentive à ses élèves, Morgane Cherrier, l’enseignante de cette classe de CM2 de Varangéville, participe de bon cœur à l’activité de sensibilisation.

– “Ce que j’apprécie particulièrement, c’est la curiosité des élèves, ils ont envie d’apprendre ! Ensuite, l’approche sensorielle proposée par l’Atelier Vert fait qu’il y a des élèves qui se révèlent : j’accueille dans ma classe des élèves en situation de handicap et dès le lendemain de la première séance, un de ces élèves s’est investi dans un travail écrit comme jamais il ne l’avait fait ! Donc c’est bénéfique. Cela nous permet d’aborder les choses différemment en rendant les élèves vraiment acteurs, au sens investi par leur corps dans les apprentissages. Par la suite, ils transmettront les messages à leur famille. On espère qu’ensemble ils se promèneront dans leur propre ville et que les enfants feront découvrir à leurs parents des choses sur la nature qui les sensibilisent et leur donnent encore plusenvie de la respecter.”

Pour en savoir plus sur les actions du programme Biodiv’Est, rendez-vous sur biodiversite.grandest.fr.

(Reportage proposé par les radios associatives avec le soutien de la région Grand Est)

 

Parc Naturel Régional de Lorraine


Le projet Biodiv’Est, porté par la Région Grand Est, constitue un formidable levier pour démultiplier et accélérer les projets liés à la restauration et la préservation de la biodiversité en Grand Est. Exemple avec 2 actions du LIFE, pilotée par le PNRL (Parc Naturel Régional de Lorraine), concernant l’expertise et l’évaluation des prairies en milieu agricole, en lien avec la Chambre Régionale d’Agriculture du Grand Est (CRAGE). Laurent Godé, Chef de service de biodiversité au sein du PNRL nous présente la 1ère action du LIFE.

Ce LIFE a comme enjeu la préservation de l’élevage au travers la préservation des prairies puisque l’ensemble des prairies du Grand Est ont un formidable lieu de biodiversité, plus de mille espèces végétales, plus de 65 cortèges de milieu prairie différents dans les Vosges par exemple. Mais ceux-ci ont beaucoup régressé puisqu’en 50 ans, on a perdu plus de 40% des surfaces de prairies permanentes dans le Grand Est. D’où l’objectif et les enjeux de ces 2 actions menées par le parc de Lorraine pour la Région Grand Est, à cette échelle de la région Grand Est la préservation, la connaissance des prairies.
La 1ère action, c’est mettre en valeur ce qui existe encore dans ces prairies à l’échelle du Grand Est, donc toutes les typologies de prairies qui existe depuis les Hautes Vosges jusqu’aux Ardennes en passant par la forêt de Riant plateau lorrain. Quelles sont les espèces existantes et comment subissent-elles ou évoluent-elles avec le changement climatique ? De cela, on en induira les services écosystémiques que rendent ses prairies, les services d’érosion des sols, lutte contre l’érosion des sols, de filtration des eaux, d’arrêt d’érosion du vent, etc… Nous en déduirons, en tout cas, c’est à espérer des paiements pour services environnementaux qui permettront aux agriculteurs de mieux vivre et d’être mieux rémunérer de l’existence de ces prairies qui nous sont chers. Voici le cortège de cette 1ère action à mener.

Quelle est la 2ème action du LIFE mené par le PNRL ?

Elle va dans la suite, la 2ème action est le constat que ces prairies, à l’heure actuelle, permanente ou temporaire se dégradent avec le changement climatique, moins de rentabilité, des sécheresses, on l’a vu encore cet été qui font des paillassons de nos belles prairies. Alors, elles se restaurent pas mal quand il y a des pluies automnales mais quelles sont les perspectives demain de ces prairies sur le changement climatique ? Donc, la 2ème action, c’est vraiment connaitre mieux ces prairies, quelles sont les pratiques qui permettront les préserver demain et comment les enrichir de nouvelles espèces qui formeront nos prairies du futur.

Pouvez-vous nous dire un peu plus sur ce projet, en lien avec la Chambre Régionale d’agriculture du Grand Est en partenariat avec le PNRL ?

Oui, effectivement nous occupons en particulier des prairies mais il y a une action importante dans le cadre du LIFE Biodiv’Est mené par la Chambre Régionale d’agriculture du Grand Est qui concerne la biodiversité en milieu agricole en particulier en grande culture. Et là, il y a 40 ferme pilote qui ont été choisi pour référencer ce qu’apporte en terme économique et en terme de biodiversité, on va dire, les éléments fixes du paysage (Une haie, une marre une bande enherbée, donc il y aura des test expérimentaux qui vont être faites de replantation de haies, de semi de bande enherbée et voir quelle est la fonctionnalité, ce que ça apporte en biodiversité, est-ce que ça apporte en économie pour chaque exploitation. Donc c’est vraiment réparti à l échelle du Grand Est et on a décidé de faire un comité de pilotage commun avec cette action prairie hautes, puisque bien évidemment le bénéfice en est pour l’agriculture qu’est des plus importantes au niveau de nos territoires.

Sur ces 40 fermes pilotes, y a-t-il des analyses qui sont faites régulièrement ?

Absolument, elles vont démarrer dés 2023, il y aura des analyses de sol sur la biodiversité du sol, sur les vers de terre, sur les polinisateurs qui nous permettront d’en savoir plus sur les éléments fixes du paysage de ces milieux.

Avec ses 2 actions, le PNRL est un très bel exemple pour la préservation de la biodiversité.
Référez-vous sur le site internet du PNRL et de la Région Grand Est pour en savoir plus sur ces actions.

Une production des radios associatives avec le soutien de la Région Grand Est.

Parc Naturel Régional de la Montagne de Reims


L’action pilotée par Léa Joly permet d’étudier le comportement des forêts lorsqu’elles sont en gestion naturelle. Il s’agit d’augmenter les superficies non-exploitées par l’homme et d’évaluer le développement de la biodiversité ainsi que le bénéfice retiré face au changement climatique.

Alexis Claude-Reitz : – Bonjour et bienvenue au cœur du Parc naturel régional de la montagne de Reims. Rencontre avec Léa Joly, chargée de mission LIFE Biodiv’Est « forêt ». Nous sommes depuis la maison du parc à Pourcy, pour présenter un projet européen porté par la région Grand Est, où de nombreuses actions concrètes sont mises en place pour œuvrer face à la stratégie régionale de la biodiversité et au déclin de la biodiversité et ce pendant dix ans. Léa Joly, bonjour
Léa Joly : – Bonjour
– On le dit d’entrée, d’autres parcs sont associés au projet que vous allez nous présenter, le Parc naturel régional des Vosges du nord, le Parc naturel régional de la forêt d’Orient et le Parc national des forêts. Mais c’est ici, à une quinzaine de minutes de Reims, au Parc naturel régional de la montagne de Reims, donc, qu’une action pilote spécifique aux milieux forestiers est menée en trois volets.
– Oui un des enjeux de la région c’est l’adaptation des forêts face au changement climatique. Il faut savoir que la région Grand Est a une forte responsabilité dans les milieux forestiers qui représentent plus d’un tiers du territoire régional et aujourd’hui nous avons des essences majoritaires comme le hêtre ou le chêne pédonculé, qui sont vulnérables face au changement climatique. Et donc nous allons chercher avec l’ensemble des acteurs forestiers, privés et publics, l’ensemble des chercheurs également, à mettre en place de nouvelles pratiques de gestion plus résilientes, plus douce, pour adapter la forêt face aux changements à venir.
– Et sur ce projet il va y avoir un suivi tout au long des dix années à venir pour voir l’évolution ?
– Exactement chaque expérimentation qui sera menée localement fera l’objet de suivi bien particulier avec les universitaires et les chercheurs, car il est important dans un contexte de changement climatique de tester de nouvelles choses mais il faut aussi savoir prendre son temps et bien réfléchir, et avoir un suivi précis sur quel sera les impacts de nos interventions. Est-ce qu’elles seront bénéfiques ? Nous ferons tout bien sûr pour qu’elles le soient, et mesurer justement les bienfaits sur la biodiversité, sur la préservation des sols forestiers et la bonne santé des forêts de manière générale.
– Léa Joly en tant que chargée de mission LIFE Biodiv’Est, plus particulièrement auprès des forêts au Parc naturel régional de la montagne de Reims, autre volet avec vous que l’on peut évoquer c’est la création de 20 hectares d’îlots de sénescence, de quoi s’agit t’il exactement ?
– Les îlots de sénescence sont des zones de forêt où nous décidons volontairement l’exploitation forestière pendant plusieurs décennies, soixante-dix ans ou au-delà. C’est les scientifiques qui reconnaissent l’importance aujourd’hui de préserver des secteurs de forêt, où on va arrêter d’intervenir pour laisser évoluer naturellement les milieux. Il faut savoir que l’on a une grande majorité des espèces forestières qui dépendent de vieux bois, de gros bois, de bois mort. Et donc c’est important de conserver ces zones laissées en libre évolution.
– Lorsque l’on n’est pas professionnel du métier, on peut avoir l’impression d’être un petit peu finalement déconnecté, si j’ose dire, de tout ce qu’il se passe concrètement sur le terrain, et pour ça vous aller organiser notamment de nombreux événements à destination du grand public pour qu’il puisse se rendre compte des bienfaits et des actions qui sont concrètes et qui sont menées sur le territoire.
– Oui, chaque année nous allons mettre en place des événements grand public où toute personne intéressée aux forêts et au changement climatique sont les bienvenues. Nous ferons également appel à des intervenants à la fois naturalistes, sociologues, gestionnaires forestiers, pour expliquer plus en détail et avoir des regards croisés sur les forêts et la biodiversité, dans un contexte de changement climatique.
– Et bien on donne rendez-vous. Pour savoir tout ce qu’il se passera, on imagine qu’il faudra passer par le site internet notamment du Parc naturel régional de la montagne de Reims où on aura toutes les infos…
– Vous aurez toutes les infos également sur la page et les réseaux sociaux du projet LIFE Biodiv’Est et la région Grand Est.
– Un grand merci Léa Joly, chargée de mission LIFE Biodiv’Est forêt au Parc naturel régional de la montagne de Reims, de nous avoir reçu ici au Parc naturel et à très bientôt.
– Merci à vous et à bientôt j’espère.

– A noter que cette émission était une production des radios associatives du Grand Est soutenue par la région Grand Est.

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