A propos

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RDL AUJOURD’HUI

RDL est une radio associative d’intérêt local. Sans aucune discrimination ni couleur politique, elle a pour objet de développer l’information régionale en permettant à la population, aux associations et à tout autres organismes politiques, syndicaux, familiaux et culturels de s’exprimer largement, librement et équitablement à l’antenne.

RDL est indépendante de tout groupe politique, religieux, financier ou de tout autre média national ou local. Elle s’est également et depuis toujours, positionnée contre la publicité afin d’assurer au mieux son rôle de radio indépendante de proximité, sans concession ou langue de bois, ce qui confère à notre antenne une spécificité, un ton et une énergie tout à fait particulière. La radio émet 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, une programmation à 93 % produites par nos soins.

Composée de salariés et bénévoles issus de différents milieux socio-professionnel et de communautés, âgés de 7 à 77 ans, RDL propose des programmes variés et des émissions :
– d’informations consacrées à l’économie, aux initiatives sociales et culturelles ;
– traitant de l’intégration et de la lutte contre les discriminations et les handicaps ;
– tournés vers l’écologie, l’environnement et le développement local ;
– culturelles (littéraires, musicales, arts aux pluriels, etc…) ;
– d’informations locales et régionales ;
– d’animations interactives avec les auditeurs et associations.

Sa grille des programmes se découpe autour de trois axes : des matinées thématiques pour apprendre et comprendre, des après-midi pour sensibiliser, des soirées pour divertir et s’évader. Radio mélomane, radio de découvertes musicales, défricheuse de talents d’une large diversité de styles (pop, reggae, classique, etc…), elle met également ses moyens humains et techniques au service d’initiatives locales : enregistrement sur site d’événements, conférences et salons.

RDL souhaite être un vecteur de rencontres, nourrir les auditeurs à la diversité et à l’humanité, échanger et développer la communication dans le but de rapprocher les personnes, donner différents points de vue dans un esprit d’ouverture et de tolérance et cela dans tous les domaines.


RDL DEMAIN

Le CSA souhaite passer la bande FM en numérique en créant la Radio Numérique Terrestre (RNT). Ce projet condamne à terme les radios associatives non commerciales puisque le coût du passage au numérique sera insurmontable pour la plupart d’entre elles. De plus, les postes récepteurs seront plus chers et la réception de moins bonne qualité audio.RDL est membre de la Confédération Nationale des Radios Associatives (CNRA), organisation représentative des radios libres françaises structurées en fédérations, reconnue en tant que telle par les pouvoirs publics. Depuis sa création en 1991, conformément à ses statuts, cette confédération s’est efforcée de regrouper, avec le soutien des fédérations régionales, l’ensemble des radios associatives ; des radios de toutes sensibilité, obédiences, confessions ou courants, dès lors qu’elles ont pour but la communication sociale.

La réalité plurielle du secteur des radios associatives n’a pas facilité la tâche de la CNRA pour assumer ses objectifs de « rassembleur ». Plus de 260 radios implantées dans plus de 80 départements français dont 3 d’outre-mer, avec près de 10.000 bénévoles et 1.200 emplois salariés.

La CNRA poursuit son action pour que le Fonds de Soutien à l’Expression Radiophonique (FSER) 2014 soit à minima égal à celui de 2013 et entièrement dédié à la radio analogique.

La CNRA ne peut concevoir le lancement de la RNT sans l’assurance qu’elle soit financée par l’Etat à la hauteur des charges nouvelles que devront supporter nos radios et que ne pourront pas financer les collectivités locales.

La CNRA ne peut accepter que le mode de réception de la RNT et son interactivité soient couplés à la technologie 4G. Cette option rendrait les radios dépendantes des grands opérateurs privés de la téléphonie.

La CNRA demande un moratoire sur le déploiement de la RNT tant que des engagements financiers de l’Etat et des engagements du CSA ne garantissent pas une totale indépendance des opérateurs associatifs.